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Aveu du fief du Parc d’Ourville

Aveu du fief du Parc d’Ourville par Jacques de Thieuville (11 Février 1613)

L’aveu constituait en la description des biens, distinguant le domaine non fieffé (ou domaine réservé), exploité directement par le seigneur ou son fermier, comprenant le manoir seigneurial et les terres environnantes, du domaine fieffé aux paysans que ceux-ci exploitaient en échange de redevances.

Le fief du Parc était tenu du roi, par Jacques de Thieuville , écuyer, sous la châtellenie et vicomté de Valognes pour un quart de fief de haubert (un quart de fief de chevalier).

Le domaine non fieffé (domaine réservé exploité par les gens du seigneur ou par son fermier) comprenait :

Le Manoir sis à Saint-Lô d’Ourville, avec douve, motte, moulin à eau, colombier adjacent au Manoir (1), chapelle. Les vassaux du seigneur étaient tenus de réparer la motte (2), curer les douves, bieux et rivières passant par la prairie du seigneur.
80 acres de terre en prairie. (3)
Un moulin à vent nommé « Cattelet », moulant, deux autres moulins en ruine, l’un appelé la « Motte du Dicq » et l’autre la « Croix des Faux », plus le moulin seigneurial nommé « Rouïnel » sis à Ourville que les hommes du seigneur étaient tenus de réparer avec les hommes de la seigneurie du Dicq (4), curer les bieux, entretenir la chaussée et écluse étanche, couvrir la maison dudit moulin, charrier le bois et les meules. Ce moulin était alors possédé par les héritiers de Pierre Vivien, en son vivant sieur du Dicq.

Trois fiefs nobles dépendaient du fief du Parc :
Le fief du Saussey sis à Saint-Georges-de-la-Rivière et s’étendant à Gouey et Port-Bail, possédé par Jean Beaugendre, écuyer.
Le fief de Lanquetot sis à Port-Bail, s’étendant à Saint-Georges-de-la-Rivière et à Saint-Martin-du-Mesnil, possédé par Jean Voussey, écuyer :
« qui me doit au jour Saint-Hilaire au matin trente sols de rente censive qu’il est tenu me les apporter à mon dit Manoir du Parc sur peine de dix huit sols d’amende et dix sous de rente sieuriale pour souffrance de gaige plège (5), outre me doit reliefs, traizièmes, aides coustumiers (6) selon la coutume de cette province quand le cas s’offre, duquel fief et tènement je suis en procès avec ledit Besnard et Jean Voussey, sieur de Saint-Georges, par devant Monsieur le Bailly du Costentin ou son Lieutenant à Vallognes parce que je prétends ladite gaige plège, court et usage m’appartenir »

« Autre fief à Saint-Pierre d’Alumpe (7) appelé le fief de Mandenaville, possédé par Guillaume Le Breton, Escuyer, qui relève par un huitième de fief de haubert, et ay plusieurs homme et tenants aux dites paroisses de Saint-Lô d’Ourville, Goé, Pourtbail, Saint Georges et Saint-Jean de la Rivière, Saint-Martin du Mesnil, Saint-Pierre d’Alumpe, Sainte Susanne en Bauptois es mettes d’environs où il y a 17 vavassories (8) ou aînesses roturières (9) et ay une garenne de présent peuplée sur mon dit domaine et m’en est due en argent 69 livres, 60 boisseaux de froment, 16 boisseaux d’avoine, 20 boisseaux de sel blanc, le tout mesure de Barneville (10), 42 pièces de poulailles tant guelines (11) que chapons, 90 œufs, 5 quarterons de poivre (12), une paire d’éperons dorés, 2 paires (d’éperons) de fer et 8 journées (de corvées) et m’appartient aussi la moitié du pasturage des landes de Goé qui est pour chacune beste qui y pasture demi-boisseau d’avoine, outtre ay droit de varech et gravage (13) pour la moitié avec le dit sieur du Dic depuis la fosse du havre de Port-Bail jusques au havre de Goé qui est à l’endroit desdites paroisses de goé, Pourtbail, Saint-Georges et Saint-Jean-de-la-rivière privativement à tous autres et les mielles à l’endroit des dites paroisses m’appartenant à moitié avec le dit sieur du Dic, me doivent mes hommes et tenants service de prévosté (14), reliefs, treizièmes, aides (15) coustumiers de Normandie le cas offrant, à cause duquel fief je doit au roi mon dit seigneur foi et hommage, reliefs, treizièmes et dix journées de service d’ost (16) d’un homme armé quand le cas s’offre au temps de guerre au château du Plessis (17), avec ce je doibt un quartier d’avoine de bernage à la mesure de Barneville chacun an de rente qui se paye par la main de mes hommes au comptoir et recepte de Saint-Sauveur Lendelin. Item quatre deniers de rente pour une paire d’éperons au terme de Pâques au comptoir du roi nostre sire à Vallognes et me doibvent aydes les tenants des fiefs nobles, aînesses et vavassories de mesdittes audit service d’ost, et sy plus y a plus en avoue tenir saouf à moi augmenter, corriger, diminuer ce présent aveu sy augmentation, correction ou diminution y appartient, en tesmoins desquelles choses j’ay signé le présent adveu de mon sein manuel et scellé du cachet de mes armes, le onzième jour de febvrier l’an mil six cent treize.

« Signé : de Thieuville, et scellé d’un cachet de cire rouge »

(Archives départementales de la Manche, notes de l’abbé Hulmel prises dans les registres de Mangon du Houguet, vicomte de Valognes, conservés à la bibliothèque de Grenoble).

 

(1) Ce colombier a disparu, il ne figure pas sur le premier cadastre (début XIXième), détruit probablement à la révolution, son emplacement est à rechercher dans les environs très proches du Manoir.

 

(2) La question se pose de savoir où se trouvait cette motte. Aucun toponyme caractéristique ne permet de la situer. Si on suppose qu’elle est pu se situer à l’emplacement du quadrilatère où se trouve le logis seigneurial (ce qui est vraisemblable) et qui était encore totalement entouré d’eau au début du XIXième siècle, cela implique que la dite motte n’existait plus en 1612 depuis deux ou trois siècles (ayant été aplanie pour permettre l’édification du logis).


Le fait qu’elle soit mentionnée dans l’aveu de 1612 avec obligation de son entretien n’est que le rappel d’un droit très ancien du seigneur sur ses vassaux. C’est aussi, pour le seigneur du lieu, la preuve de l’ancienneté et de l’importance du fief du Parc.

 

(3) 80 acres : 320 vergées : 64 hectares. Le domaine actuel, dont les terres sont toujours
groupées d’un seul tenant, a une superficie de 52 Ha, 19 a, 85 ca.

 

(4) Cette obligation, commune aux vassaux de deux fiefs distincts, est étonnante. Elle put s’expliquer par le fait que, aux XIII et XIVième siècles, le Parc et le Dicq étaient aux mains d’une seule et même famille : les d’Argences.

 

(5) Gaige plège : assemblée de tout les vassaux d’un seul et même fief pour élire un prévôt et reconnaître les rentes dont ils étaient redevables. Le prévôt était un officier qui jugeait les procès pendants entre les vassaux roturiers du seigneur et qui les conduisait à la guerre.

 

(6) Relief : droit qui se paye à chaque mutation de seigneur ou de vassal. Treizième : droits perçus par le seigneur sur les mutations et ventes de propriétés.

 

(7) Saint-Pierre d’Allonne.

 

(8) vavassorie : petit fief ou arrière fief ; dans la quasi totalité des cas, il s’agit d’une terre roturière ; le vavasseur est le tenant d’une vavassorie.

 

(9) aînesse : domaine partagé entre plusieurs héritiers qui, au regard du seigneur dominant, forme un tout dont répond une seule personne qui est qualifiée d’aîné. Les co-tenanciers sont appelés puînés.

 

(10) boisseau : mesure de capacité variable selon les lieux ; un boisseau valait deux cabots. Le boisseau de 18 pots mesure de Barneville valait 32,796 litres ; le boisseau de 28 pots mesure de Barneville valait 51,016 litres.

 

(11) guelines, gelines : poule engraissée pour être donnée en redevance au seigneur.

 

(12) quarteron : quart d’une livre (poids), quart d’un cent.

 

(13) gravage : le droit de varech ou de gravage était attribué par la coutume de Normandie aux seigneurs des fiefs voisins de la mer qui pouvaient s’approprier « toutes choses que l’eau jette à terre par tourmente et fortune de mer, et qui arrivent su prés de terre qu’un homme à cheval y puisse toucher avec sa lance ». L’exercice de ce droit fut la cause de nombreux abus et suscita de nombreux et interminables procès. Il fut strictement réglementé par l’ordonnance royale sur la Marine d’août 1681 (Colbert). Aller à Gravage : chercher des épaves sur la plage.

 

(14) Service de prévôté : fonctions assurées par le prévôt.-

 

(15) Aides : subsides primitivement consenties par les Etats du royaume pour aider les rois à soutenir les guerres.
Reliefs : droit qui se payait à chaque mutation de seigneur ou de vassal.

 

(16) service d’ost : service militaire dans les armées du roi ou du seigneur dominant en cas de guerre.

 

(17) probablement le Plessis-Lastelle, canton de Periers, où il y avait un important château avec motte dont il reste les vestiges. La commune a été constituée en 1964 par la fusion du Plessis et de Lastelle.

Partage de la succession (1) de Jacques-Alexandre de Pierrepont, 3 octobre 1699.

[Archives départementales de la Manche, 5 E 11952]

Le 3 octobre 1699, les 3 fils survivants de feu Jacques-Alexandre de Pierrepont et de Catherine du Fay :
Robert de Pierrepont, chevalier, enseigne aux gardes française, fils aîné.
François-Jacques de Pierrepont
Charles de Pierrepont, chevalier de l’Ordre de Saint-jean-de-Jérusalem (Ordre de Malte), fils « puisné ».

Se partagent la succession de leur père (la répartition des lots avait été faite par leur mère et remise, le 13 juin 1699, à Thomas Mauger, notaire royal héréditaire pour le siège de Saint-Sauveur–de-Pierrepont.

Catherine du Fay, leur mère, obtient « pour ses soins et usufruit tant à droit de douaire que d’acquest et conquest suivant la coutume » :

« Le fief noble et seigneurie du Parc assis dans la paroisse d’Ourville et lieux circonvoisins, se consistant en rentes seigneuriales de plusieurs espèces, colombier, moulin banal, miesles [mielles], gravage, garenne, services, subjections, droits honoraires et utiles audit fief appartenants dans toute son estendue, sans réservations, avec les terres et bastiments de la ferme dudit lieu du Parc en l’estat qu’elle est dans son enclos, à la réserve des terres et autres biens situés en ladite paroisse qui seront cy après employés dans les autres lots.
« La présentation (2) de la chapelle dudit lieu du Parc d’Ourville.
« Les rentes seigneuriales de la seigneurerie du parc d’ourville.
« Les moulins, terres et prairies situés dans ladite parroisse d’Ourville dont jouit Pierre Basneville (3)
« Les terres que tiennent Guillaume Bataille et un nommé Piton »

Les 3 frères gardent le reste ; notamment :

Le « fief noble, terre et seigneurerie de Saint-Nicolas-de-Pierrepont qui se consiste en domaine fieffé et non fieffé, manoir seigneurial, présentation au bénéfice cure dudit lieu de la petite portion et à la chapelle dudit lieu, colombier, moulins bannaux appelés moulins de Bas et du Milieu, les rentes seigneuriales de toutes espèces, les fermes et immeubles de la Cour de Pierrepont avec toutes les maisons au village de Launay ».
La ferme de Bouttemont, à Saint-Nicolas-de-Pierrepont.
La ferme de la Tourelle, à Saint-Lô d’Ourville
La ferme de la Hurie, à Saint-Nicolas-de-Pierrepont, avec la maison de la Détrousse.
Le moulin à eau, le moulin de Haut et un moulin à vent, à Saint-Nicolas-de-Pierrepont.
Le fief , terre et moulin de Lhommey, à Canville-la-Rocque.
Le fief et terre de Vesly à Saint-Lô d’Ourville.
La ferme de Gennetot, située à Ourville et Gouey.

Ainsi que plusieurs pièces de terre sur Ourville et Saint-Nicolas de Pierrepont, louées à plusieurs particuliers.

(1) c’est-à-dire « des fiefs, terres et biens immeubles, patrimoine d’acquest et conquest possédés par le feu seigneur d’Ourville… »
(2) présentation : droit de présenter un chapelain qui sera nommé titulaire de la chapelle par l’évêque.
(3) il s’agit des moulins d’Ourville, sur la chaussée barrant le havre (D132).

Bail du Parc d’Ourville 13 août 1703

« L’an mil sept cent trois, le lundy traizième aoust,

« Fut présent noble dame Catherine du Fay, veuve et douairère du feu seigneur d’Ourville Pierrepont, en son vivant chevallier, seigneur du Parc d’ourville, Saint-Nicolas-de-Pierrepont et autres lieux, laquelle a baillé par ce présent bail et ferme et prix d’argent pour le temps et espasse de cinq annés consécutifs à commencer au jour et feste de Saint Michel en septembre prochain venant qui finiront à pareil jour ledit temps expiré, à Guillaume Le Goupil, fils Pierre, de la paroisse de Saint-Lô d’ourville, c’est à sçavoir :

« Les maisons et héritages du manoir seigneurial du Parc d’ourville, pressoir et étables de dehors la cour, moulin à eau, colomby (1) étant dans le jardin de haut, avec le jardin potager au dessous, fruitier et l’entretient dudit pressoir avec les deux prayryes de gresse et deux prairies de mares avec le prey nommé le Prey Saint Morisse séparé en deux, item la pièce nommée La Perruque, le jardin à pommiers, le jardin de la Fontaine, item la petite et la grande Cauvinery en tout leur contient, item la pièce nommée les Vaulx avec le prey au dessous de ladite pièce (2), item la pièce nommée la Haute Porte et la pièce ,nommée la Croutte joignant aux dites pièces, item la pièce nommée La Croutte de Haut, toutes lesquelles pièces plantées en pommiers, item le petit bois taillis joignant entre la grande Cauvinery et la dite pièce nommée les Vaulx(3) à charge de couper les bois taillis une fois pendant le présent bail ».

Clause d’entretien des bâtiments

« Et eu égard des réparations des maisons ledit Le Goupil ne sera obligé que d’entretenir la chareterie et étable au derrière de la Chapelle de couverture de pierre et lesdits maisons, granges, étables et pressoir, moulin le tout couvert de paille à charge de les mettre par ladite dame en bonne réparation pour iceux les rendre à la fin du bail en parfait état l’eau dehors »

Entretien des pommiers

« A charge de entretenir les pommiers estant sur lesdits héritages par ce qu’en cas qu’il en sera tombé ou meure ledit preneur en fera son profit et ne fera que de fournir par chaque pommier au lieu d’une ente (4) la somme de huit sols »

Coupe du bois

« Et ne pourra couper aucun bois que branches sur les arbres, ronces et épines pour la chauffe du four seullement… pareillement pourra couper une fois pendant ledit bail les saulx touttes propres à faire cercle (5) s’il ce y en trouve sur les hayes bordantes aux preyries »

Curage des cours d’eau

« Et au regard des rivières ledit Le Goupil les pourra curer comme il en voudra jouir sans estre obligé à auscunes réparations à la fin du présent »

Usage des granges, celliers, pressoir…

« Comme aussy ladite dame d’ourville lui prestera douze thonneaux bons et suffisants pour mettre du cidre à charge de les rendre en pareil état à la fin de la sixième année. Comme aussi d’avoir les granges, greniers, celliers et fenils jusqu’à la Saint-Jean après la dernière année ainsy que de rendre les cuves du pressoir en état comme ladite dame les y laissera avec le couteau à pressoir et au regard des pailles ladite dame a promis audit preneur un mil de paille de froment et un mil de paille d’orge et les menues pailles qui sortiront du van à charge de rendre lesdites pailles à la fin du présent bail

« Et a esté convenu entre ladite dame et ledit Le Goupil qu’il engrangera les fruits et récoltes de la ferme dont il jouit dans lesdites maisons dudit manoir seigneurial du Parc (6) »

Ensemencement des terres labourables

« A l’égard des pièces [de terre] cy dessus mentionnées que ledit Le Goupil laissera propres à faire froment la dernière année, la Grande Cauvinery tournée de deux tours et gressez (7) prête à faire froment, le jardin à pommiers gressé et où il pourra faire du sarrazin dans ledit jardin à pommiers, ainsy que la Petite Perruque qu’iceluy preneur gressera pour faire du froment après y avoir fait des pois ou vesces, à la réserve de six champs dans icelle pièce qui sont de présent en orge et de gresser et composter y ceux héritages pendant le présent suivant la coutume du pays »

Règlement du prix du bail

« Et par dessus touttes les clauses et conditions cy dessus fut le présent bail par le prix et somme de mille quatre cents livres payables en quatre termes sçavoir 200 livres au jour et feste de Toussaint prochain venant en un an, 400 livres à Noël, 400 livres à Pasques et 400 livres à la Saint-Jean-Baptiste (8) ensuivant ainsy que de terme en terme pendant lesdites cinq années. Et ensuivant du présent bail ladite dame d’ourville a promis par advance audit Le Goupil la somme de deux cents livres dans le jour Saint-Michel prochain venant qu’iceluy Goupil s’est obligé rendre à la fin du présent bail ».
Clause particulière concernant la maison manable

« Il a été convenu que le dit Le Goupil céder à ladite dame des maisons dudit manoir seigneurial savoir la grande salle, chambres, cabinets et greniers, cellier et dépence parce que ladite dame a promis faire accomoder une salle avec un chaufepied le tout propre à faire feu et de mesme ainsy que de faire mettre du palet dessus les planchers ainsy que des vitres et le tout accomodé pour y faire demeure et en cas que ladite dame fust obligée de faire résidence (9).
D’autre part elle a promis qu’en son absence ledit Le Goupil pourra se servir de la grand salle ».

[Signature de Catherine du Fay]

Ce bail rédigé sous seing privé, a été déposé le 19 septembre 1706, auprès de Thomas Mauger, notaire royal héréditaire pour le siège de Saint-Sauveur-de-Pierrepont par Guillaume Le Goupil à la requête de Catherine Du Fay.

 

[Archives départementales de la Manche, 5 E 11955]

 

(1) Colomby : Colombier
(2) Actuel prés des Vaux
(3) Actuel taillis dit la Coudrière.
(4) Entes : jeunes plants greffés (enter=greffer)
(5) Branches de saule utilisées pour le cerclage des tonneaux.
(6) Il faut peut-être comprendre que même les pièces normalement à usage d’habitation pourront être utilisées à abriter les récoltes.
(7) Labourée à deux tours de charrue et amendée avec fumier, varech, tangue, etc.
(8) Le terme habituel de la Saint-Michel est ici reporté à la Toussaint
(9) Il apparaît ainsi que le manoir n’était pas très habitable !

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